

Tes mots sur les miens
Une poésie du temps qui passe...
" J’accepte une couleur ocre qui bouscule, une pierre qui roule et qui écrase, un enfant qui bascule, que la peur fasse rire, de m’initier à l’absence, de tourmenter le temps, de découper des mots, un cadeau de feu et de bruits, de ruban autour des lèvres, une caresse paresseuse,